Si vous n’arrivez pas à passer à l’action, peut-être qu’un de ces freins résonnera en vous. En effet, prendre conscience de ce qui vous empêche de passer à l’action est déjà un premier grand pas vers plus de clarté. Quand on se sent bloqué(e) à une étape de sa vie privée ou professionnelle, souvent devant un choix à faire pour continuer d’avancer, on se retrouve passif. On est dans l’attente de quelque chose, comme si les choses allaient se débloquer toutes seules. Résultat : on procrastine ! Derrière cette procrastination se cachent souvent des blocages ou des peurs. Découvrons les 4 principaux freins afin de vous aider à passer à l’action !
Le manque de confiance en soi empêche le passage à l’action
Avoir peur ou avoir une estime de soi basse sont autant de marqueurs de manque de confiance en soi. La confiance est essentielle pour prendre des décisions et en assumer les conséquences. Sans un minimum de confiance, vous ne pouvez pas agir, faire des choix et vivre en pleine sérénité.
Alors, avez-vous suffisamment confiance en vous pour passer à l’action ?
Si c’est votre frein, alors je vous invite à regarder cette vidéo pour un coup de boost de 5 minutes qui vous aidera à avoir confiance en vous.
Vous pouvez également effectuer le quiz en moins d’une minute pour évaluer votre niveau de confiance en vous.
Attendre la perfection pour passer à l’action
C’est un des grands défauts de nombreux entrepreneurs. La perfection n’est qu’une vision individuelle et propre à chacun.
En réalité, elle n’existe pas. Elle est un concept qui varie d’un individu à l’autre. Votre niveau de perfection n’est certainement pas le même que votre voisin. Or chercher la perfection absolue à vos yeux vous mène au statu-quo. C’est une forme de procrastination active. C’est-à-dire que vous faites des choses, mais rien n’en sort jamais !
Vous connaissez peut-être l’expression “Vaut mieux fait que parfait”, commencez par l’appliquer dès aujourd’hui !
La peur de l’échec, un frein majeur du passage à l’action
Puisque notre culture montre du doigt l’échec comme le vilain petit canard, devoir agir en craignant de vous planter est un repoussoir de taille.
Cependant c’est en se trompant que l’on apprend, que l’on se perfectionne et que l’on s’améliore. Nelson Mandela le disait très bien : “Soit je gagne, soit j’apprends”
Si vous n’échouez pas ou jamais, le jour où vous vivez un vrai revers dans votre vie, vous serez anéanti(e).
La vie est bien faite malgré tout, car rares, très rares, sont les personnes qui ne vivent pas d’échec. Dites-vous que derrière un succès visible de tous, il y a peut-être 10 ou 20 échecs.
Alors, voyez l’échec potentiel comme une expérimentation, un test pour faire mieux si cela échoue.
Ne pas savoir par où commencer, le blocage qui empêche d’avancer
J’aime ce dicton (encore un 😅) : “Un éléphant se mange une bouchée à la fois”.
De nouveau, tourner en rond et procrastiner de manière active en brassant de l’air sans se lancer est un empêcheur d’action.
Parfois, il suffit de commencer simplement et d’avancer à partir de ce premier point pour que le chemin s’éclaire. Si vous deviez manger l’éléphant, vous commenceriez par un bout, puis un autre, et ainsi de suite.
Donc à moins d’avoir un plan d’actions clair (ce dont vous avez peut-être besoin), vous pouvez aussi suivre simplement votre instinct.
Un de ces freins vous parle et vous souhaitez passer enfin à l’action tout en étant guidé ? Je vous accompagne dans ce travail de fond. Réservez votre appel découverte.
